Ma scolarité ( 2eme partie) le collège
Les difficultés scolaires seront dés la 6eme présentes : mes difficultés de compréhensions de vocabulaire se feront ressentir dans beaucoup de matières en particulier le Français mais aussi des matières qui demandent beaucoup de compréhensions et non pas que de l'apprentissage par coeur.
Je me souviens encore de connaître mes cours par coeur mais ne comprenais pas, ne pouvais peu donner d'explications lorsque l'on m'interrogeait.
C'est donc par le travail de Marie-Paule, professeur du SSEFFIS, par le soutien important de mes parents, par leur persévérance aussi, et par moi aussi que les progrès ont pu se ressentir petit à petit.
Des progrés qui donnent des "ailes", de l'énergie, encore et encore, car il en a fallu beaucoup tellement je me doutait souvent de mes capacités, tellement certains jours c'était difficile.
Je n'avais jamais été auparavant confronté au regard des autres; celui qu'a un adolescent naïf envers un malentendant.
- Parfois on me disais que j'avais des privilèges ( ??????) d'être malentendant, cela donne des privilèges savoir des cours de sseffis, d'être "culotté par les profs".
- Etre confronté au regard moqueur, ironique, honteux qu'à un entendant envers une personne malentendante. En fait c'est la société hélas aujourd'hui, celui qui est dans un fauteuil roulant, celui qui fait deux tours de moins au stade, celui qui est gros, on se moque de lui.
C'est donc dans ce climat difficile, que j'ai vécu mes cinq années noires de collège. L'adolescence, où l'on cherche à se construire en plus, n'arrange pas les choses. en fin d'années collèges, les progrès scolaire, la maturité, l'habitude; font que cela ira un peu mieux.
Il restera néemoins quelques bons souvenirs, d'avoir fait un bon copain, que je ne voit plus hélas depuis l'âge de 20 ans.
Puis la réussite au Brevet des collège ( diplôme en fin d'années de collège), le voyage d'étude à Barcelone, et quelques tètes de profs qui restent dans la mémoires parmi d'autres à l'inverse qui m'aimait pas où m'oubliait au fonds de la classe.....
Je me souviens encore de connaître mes cours par coeur mais ne comprenais pas, ne pouvais peu donner d'explications lorsque l'on m'interrogeait.
C'est donc par le travail de Marie-Paule, professeur du SSEFFIS, par le soutien important de mes parents, par leur persévérance aussi, et par moi aussi que les progrès ont pu se ressentir petit à petit.
Des progrés qui donnent des "ailes", de l'énergie, encore et encore, car il en a fallu beaucoup tellement je me doutait souvent de mes capacités, tellement certains jours c'était difficile.
Je n'avais jamais été auparavant confronté au regard des autres; celui qu'a un adolescent naïf envers un malentendant.
- Parfois on me disais que j'avais des privilèges ( ??????) d'être malentendant, cela donne des privilèges savoir des cours de sseffis, d'être "culotté par les profs".
- Etre confronté au regard moqueur, ironique, honteux qu'à un entendant envers une personne malentendante. En fait c'est la société hélas aujourd'hui, celui qui est dans un fauteuil roulant, celui qui fait deux tours de moins au stade, celui qui est gros, on se moque de lui.
C'est donc dans ce climat difficile, que j'ai vécu mes cinq années noires de collège. L'adolescence, où l'on cherche à se construire en plus, n'arrange pas les choses. en fin d'années collèges, les progrès scolaire, la maturité, l'habitude; font que cela ira un peu mieux.
Il restera néemoins quelques bons souvenirs, d'avoir fait un bon copain, que je ne voit plus hélas depuis l'âge de 20 ans.
Puis la réussite au Brevet des collège ( diplôme en fin d'années de collège), le voyage d'étude à Barcelone, et quelques tètes de profs qui restent dans la mémoires parmi d'autres à l'inverse qui m'aimait pas où m'oubliait au fonds de la classe.....